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Filmora X : l’animation et la synthèse numérique à portée de tous

 

Alors que Filmora9 mettait déjà à portée du grand public des fonctionnalités professionnelles telles que le chargement de séquences multimédias, la stabilisation vidéo, le mixage audio, un éventail de filtres variés, la gestion des transitions, le support de nombreux codecs audio et vidéo ou encore des options d’export variées, Filmora X ouvre de nouvelles perspectives de montage en déployant des outils toujours plus puissants, à commencer par les keyframes.

Dans le monde de l’animation, les keyframes, ou images clés, sont des images représentant les extrémités d’un mouvement. À titre d’exemple, dans la représentation animée d’un visage, les keyframes liées au sourire vont consister en un dessin de la bouche relâchée (point de départ) et en un dessin de la bouche souriante (point d’arrivée). À la manière de repères, elles aident l’intervalliste à créer les dessins intermédiaires qui permettront de fluidifier le mouvement du sourire. En bref, les keyframes créent un cadre pour l’animation.

Les keyframes peuvent également être mises au service de la synthèse numérique. Dans ce cas, l’intervalliste laisse sa place à l’ordinateur qui se sert d’un logiciel comme Filmora X pour calculer les points intermédiaires de l’animation. Néanmoins, afin de reproduire un mouvement aussi fluide, naturel et réaliste que possible, beaucoup leur préfèreront le motion tracking.

Également intégré à la mise à jour Filmora X, le motion tracking s’apparente à l’animation keyframe au regard du résultat. La technique diffère pourtant puisque, pour cette seconde fonctionnalité, il s’agit d’extraire les informations du mouvement contenues dans une séquence vidéo pour les appliquer à un nouvel élément. Ainsi, là où les keyframes permettent de créer le mouvement à partir de rien, le motion tracking nécessite un support vidéo comme point de départ.

Ces deux techniques affichent toutes deux des avantages et des inconvénients.

Comme évoqué précédemment, l’animation keyframe permet de donner du mouvement à n’importe quel objet / personnage / texte à partir de zéro. Il est par ailleurs possible de faire exécuter n’importe quel mouvement au sujet animé. Mais pour que l’animation soit réussie, il faut accepter d’y passer beaucoup de temps. L’animation keyframe repose en effet sur la création préalable de rigs (bases de keyframes ; pour rappel, un mouvement est nécessairement encadré par deux keyframes). Par là même, plus on cherchera à fluidifier le mouvement, plus il faudra dessiner ou calculer de points intermédiaires.

A contrario, en captant le mouvement plutôt qu’en le créant, le motion tracking est plus rapide tout en garantissant une représentation plus réaliste de ce même mouvement. Il se révèle toutefois moins précis que l’animation keyframe dans certains cas. Ainsi, si le mouvement a mal été interprété, il sera nécessaire de le corriger à la main.

Combiner ces deux techniques en synthèse numérique est une option intéressante : on délègue toutes la partie longue de l’animation au motion tracking tout en conservant la précision de l’animation keyframe dont le rig est allégé.

Soigner le rendu final avec Filmora X

Outre ces deux fonctionnalités optimisant les usages de Filmora X, Wondershare a souhaité mettre l’accent sur la précision des finitions pour un rendu vidéo impeccable.

Parmi les nouveaux outils permettant d’atteindre un degré d’achèvement hautement qualitatif, on peut citer la gestion du color matching, soit la correspondance des couleurs. L’objectif consiste ici à étalonner les couleurs de deux plans pour conserver une cohérence colorimétrique tout au long du projet. Chez Filmora X, cette correspondance est automatique, épargnant aux utilisateurs peu aguerris la pénibilité de réglages manuels.

À l’étalonnage colorimétrique s’ajoute la possibilité de réaliser du ducking audio. Une option indispensable pour qui souhaite équilibrer et lisser le volume de différentes pistes sonores. Pour rappel, le ducking est un effet qui permet de diminuer le volume sonore d’un signal audio lorsqu’un second signal est détecté. Derrière ce procédé un brin technique se dessine la possibilité de créer des montages cumulant plusieurs pistes audio sans que le rendu final s’apparente à une cacophonie assourdissante. Par exemple, en effectuant du ducking sur une vidéo comportant de la musique et des voix, on s’assure de baisser automatiquement le son de la musique lorsque les voix se font entendre tout en conservant un volume sonore d’ensemble de niveau identique du début à la fin.

Des options essentielles à l’amélioration de l’expérience utilisateur

Au-delà de ces ajouts majeurs, Filmora X prévoit l’intégration de nombreuses petites options en apparence peu importantes, mais dont dépend intrinsèquement l’expérience utilisateur.

La prise en charge des raccourcis clavier se voit équipée d’un éditeur de raccourcis. À la rapidité d’exécution s’ajoute désormais la personnalisation des outils qui permettent cette rapidité.

Afin de ne pas casser la mise en forme appliquée au texte incrusté dans une vidéo, Filmora X prend dorénavant en charge l’édition du texte brut. À utiliser massivement en cas de copier-coller récurrents depuis Word, par exemple.

Sur Windows, il est enfin possible de modifier ses titres en profondeur et comme un tout. Résultat : plus aucun risque de n’appliquer des changements que sur un seul plan. Les rectifications (position, rotation, taille) sont communes à l’ensemble des rushs qui composent le projet.

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